La boucle semble bouclée. En 1985, la Jordanie voit deux vestiges rejoindre la liste du patrimoine mondial de l’UNESCO. Parmi eux, Quseir ‘Amra, étonnamment peu connu : il s’agit d’un château en pierre en plein milieu du désert, qui ferait plus penser à une maison, mais détonne par son état de préservation quasi impeccable.
Et il y a Pétra, mondialement connu, symbole du pays, monument le plus visité avec un pic d’un million de touristes en 2019 et aux alentours de neuf cent mille le reste du temps. Et il y a Umm Al-Jimāl, inscrite cet été. Avec le second, le pays semble avoir fait le tour. Surnommé la “Pétra Noire”, ce nouveau nom sur la liste est un clin d'œil au premier.