Et au rayon dessins animés, Shreck, les Minions et plus récemment l'Ours Paddington, très populaire au Royaume-Uni et dont les dernières aventures viennent de sortir au cinéma.
Les retombées attendues
Comme à Disneyland Paris, Universal Studios Great Britain devrait s'accompagner d'un super hôtel de cinq cents chambres et sûrement aussi d'un complexe de divertissements. Le pari porte sur 28 000 emplois, d'abord dans la construction, puis dans les secteurs de l'hôtellerie et du tourisme. Niveau fréquentation, on table sur 8,5 millions de visiteurs annuels. On aurait ainsi le parc de Disneyland Paris en France, Europa Park en Allemagne, à la frontière franco-allemande, et Universal Studios au Royaume-Uni. Une manière de se partager la clientèle européenne.