Ouvert en 2007, l'Andaz Hotel s'est installé au cœur d'un bâtiment datant de 1884. En pierres rouges, l'édifice victorien illumine le quartier. A l'intérieur, c'est le jour et la nuit. L'ensemble est ultramoderne et agencé avec goût. En guise de réception, une grande table sur lesquelles s'étalent ordinateurs portables et iPad. Le check-in et le check-out se font à l'aide de ces tablettes, bienvenue dans l'ère moderne. La décoration est quant à elle innovatrice : dans un décor mitigé entre le blanc et le noir s'étalent des fauteuils aux formes improbables et autres œuvres d'art qui valent le coup d'œil. On apprécie également les lumières artificielles, qui, couplées aux lumières naturelles rendent l'endroit agréable à vivre. Plus on s'avance dans l'hôtel, plus on s'aperçoit que l'établissement est découpé en plusieurs parties, chacune avec un style propre. Ainsi, si un escalier typé Guggenheim emmène le client vers les chambres, il est également possible d'en emprunter un second, en marbre et aux rampes de fer forgé.
Côté service, l'Andaz met le paquet en proposant pas moins de cinq restaurants, sans compter le bar à Champagne. Pour se vider la tête après de longues marches dans la capitale ou après une journée de réunion harassante, direction la salle de sports aux équipements dernier cri (les tapis de course contiennent une petite télévision, idéale pour souffrir en se distrayant) où l'on peut également trouver un sauna et des douches rafraîchissantes.
Si l'hôtel impressionne déjà par sa décoration inspirée, on reste béats devant l'ultime surprise qu'il réserve. Au détour des couloirs se découvre un impressionnant temple franc-maçon (authentique !), parfois utilisé pour des réunions ou des mariages. Paraîtrait-il même que c'est ici que Lady Gaga aurait tourné l'un de ses clips.