On aperçoit de loin la silhouette du Riu Oliva Beach. En effet, il est constitué d'un grand et haut bâtiment sans charme, planté au milieu d'un désert de dunes bordant l'océan bleu turquoise. Le côté " bunker seventies " de l'architecture est bel et bien présent. Le complexe se divise en deux parties : tout d'abord, le fameux bâtiment principal " bunker " de sept étages couleur sable clair construit en 1977, et ensuite une zone de bungalows disséminés dans un grand jardin tropical de 40 000 m². Ceux-ci comportent un ou deux étages. On compte 814 logements au total, ce qui suppose que l'on risque parfois de s'y perdre... Les deux parties ont chacune leur propre piscine (on peut parfaitement se baigner dans les deux). Ouverte de 8 h à 19 h, elles sont vastes (300 et 350 m²), chauffées en hiver, et chacune dispose de son snack-bar.
La première, rectangulaire et profonde d'1m55, possède un accès avec rampes pour les personnes handicapées. La seconde plus animée, de forme arrondie et profonde d'1m70, bénéficie d'un accès en pente douce comme à la plage. Elle abrite une île et son palmier. Elle s'insère dans un agréable espace solarium tout équipé, avec douches, cabines pour se changer, parasols, transats, matelas et serviettes. Les enfants, qui disposent de deux piscines chauffées en hiver d'une profondeur de 50 cm, pourront s'amuser au mini-club, dans l'aire de jeux, ou pourquoi pas s'initier au tennis. Car les sportifs ne sont pas en reste, avec la vaste zone multisport qui leur est dédiée. Les moins courageux préféreront le solarium, le bain à remous, ou se feront bichonner chez le coiffeur. Il y en a pour tous les goûts.